Douceur d'un soir de semaine

De plus en plus, tu me tires les cheveux pour m'amener ou m'écarter de ce sexe que j'aime tant.
Je te lèche, je te suce, un peu ou beaucoup, vite ou lentement.

Souvent tu me laisses faire et quelquefois tu veux que ton gland vienne claquer le fond de ma gorge, tu l'enfonces jusqu'à ce que ma gorge en soi pleine... j'aime le contact intermittant de nos peaux qui s'entrechoquent: je m'abandonne alors à tes mains...
Hier Tu m'as bandé les yeux, cela m'excite terriblement. Sans la vue, je m'abandonne à Toi, mon guide, et aux sensations que Tu veux bien m'offrir.
Tu m'as caressée longtemps doucement, m'a pénétré doucement.
Tu t'es rappelé que tu savais me donner un double orgasme et Tes doigts ont voulu fouiller mes fesses.
Mais va savoir pourquoi, mes fesses n'aiment que Ton sexe.

Et Tu sais comme elles l'aiment, tu es donc venu à l'endroit qui Te désirait tant et Tu m'as fais gémir. Cela ne T'as pas suffit, Tu as continué à me faire l'amour et Tes doigts ont voulu s'entreméler en mon vagin. Tu les as glissés doucement. Je mouillais. La douleur de la pression ne pouvait limiter mon jus de lubrifier Ta main. La douleur me faisait m'avancer, alors doucement tu me ramenais vers toi.
Et malgrès la douleur,je te remerciait intérieurement à chaque fois que mon corps revenait s'empaler sur ta main.Et puis j'ai eu envie que nous poussions tous deux vers le même but et je me suis fait violence pour venir vers Toi à mon tour.
La suite Tu la connais, le plaisir et la douleur, l'anéantissement de mon corps terrassé par Tes orgasmes. De la suite, il ne me reste que le souvenir de ta main sous mon cou et de l'eau que tu versais dans ma bouche...

Cette nuit, j'ai révé...